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Le cheptel tunisien vulnérable aux maladies animales transfrontalières -  30/04/2011 


La situation géographique de la Tunisie au carrefour des voies de communication en méditerranée, rend notre pays vulnérable à un certain nombre de maladies exotiques, d'où la nécessité de développer des systèmes performants de surveillance des maladies animales et de vaccination du cheptel.

Le thème des maladies animales transfrontalières a été débattu samedi à Tunis, lors de la 3ème journée scientifique, organisée par «MERIAL», leader mondial en biologie vétérinaire. Cet évènement entend attirer l'attention sur la constante menace que constituent les pathologies animales émergentes ou ré-émergentes.

Des experts européens (français, italiens..) et tunisiens ont présenté, lors de cette journée, l'actualité des recherches et les stratégies de lutte sur des maladies telles que la fièvre du Nil occidental, la fièvre aphteuse, la peste des petits ruminants, la rage et la fièvre catarrhale du mouton (langue bleue des ovins).

Il s'agit, également, de faire connaître la situation épidémiologique ainsi que l'évolution des moyens de lutte et de prévention de ces maladies.

"La mondialisation des échanges du commerce international des animaux et des produits d'origine animale et les changements climatiques ont rendu nos cheptels constamment menacés par les maladies épizootiques", a indiqué dans son intervention, M.Salem Hamdi, secrétaire d'Etat chargé de l'Environnement.

Pour prévenir et lutter contre maladies transfrontalières, la Tunisie, a-t-il rappelé a crée en 2007, le centre de veille zoosanitaire pour apporter un appui scientifique et technique aux services vétérinaires. Il importe, selon lui, de renforcer les efforts de lutter contre les épizooties, à travers le renforcement de la coopération entres les services vétérinaires au double plan régional et international.